Le soir n°228 du 30 septembre 2017
Posté : 30 sept. 2017, 11:20
Le forum Blake et Mortimer
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Entretiens avec Philippe Biermé a écrit : P102 :
A la 1ere Assemblée Générale statutaire du 6 mai 1985 et à la 2eme Assemblée Générale statutaire du 3 juin 1985. Edgar P. Jacobs propose la démission de Christian V. de sa fonction d'administrateur dans la fondation Jacobs.
A la 3eme Assemblée Générale statutaire du 24 juillet 1986, E.P. Jacobs demande la révocation de Christian V. (Voir le procès verbal du 20 octobre 1986)
Christian V. n'ayant pas remis sa lettre de démission comme il l'avait promis devant tous les administrateurs présents le 24 juillet 1986. E.P. Jacobs et Jacques Labeye actent dans le procès verbal du 23 décembre 1986 sa révocation - révocation publiée en annexe du Moniteur belge le 19 février 1987 - un jour avant le décès d'Edgar P. Jacobsn Président-Fondateur.
Entretiens avec Philippe Biermé a écrit : P111 :
Au début de l'année, Christian V. a lancé une action au civil en indemnité contre la fondation et Philippe Biermé. il reproche une révocation déshonorante de sa fonction d'administrateur de la Fondation en 1986... il demande que le tribunal prononce la dissolution de la Fondation Edgar P. Jacobs et d'entendre les cités condamnés solidairement à lui payer trois million de francs-belges (74 368 €)Philippe Biermé a écrit :Je n'ai pas compris cette démarche contre moi, ce n'est pas parce que suis un ami de Jacobs que je dois subir un procès pour une décision du père de Blake et Mortimer. Maintenant, tout est bon pour faire un procès
Entretiens avec Philippe Biermé a écrit : P112 :
Christian V. poursuit son action. le 27Janvier un huissier notifie que l'audiance à la 4e Chambre de première instance de Bruxelles est fixée le 16 novembre 1999
(...)
Affaire V. : L'audience publique de la 4e Chabre du Tribunal de première instance de Bruxelles donne raison à la Fondation et Philippe Biermé, le 23 décembre
Oui, je me le demande aussi.archibald a écrit :Je me pose la question : est ce que finalement Nick Rodwell et Fanny Vlamynck n'ont-ils pas finalement eu raison dans leur manière de gérer l' l'héritage d'Hergé ?
Nous autres, pauvres hères,pouvons toujours nous rendre à Louvain pour admirer des crayonnés d'Hergé .