Ex-libris : La marque jaune.

Scénario : E.P. JACOBS
Dessin : E.P. JACOBS
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freric
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Ex-libris : La marque jaune.

Message par freric »

Image
Ex-libris inclus dans dans l'intégrale "valise".
Dessin : E.P. Jacobs.
Exemplaire numéroté .
Tirage 5000 exemplaires.
format : 160 x 200 mm
Année 1991.

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Poster offert lors de l'achat de l'album n°1 de la collection Hachette en 2012.
Dessin : E.P. Jacobs.
Exemplairenon numéroté .
Tirage ? exemplaires.
format : 570 x 655 mm
Année 2012.

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Ex-Libris offert pour l'abonnement à la collection "Blake et Mortimer" par Hachette
Dessin : E.P. Jacobs.
Exemplaire : non numéroté .
Tirage : exemplaires.
format : ? x ? mm
Année : 2012.

Ex-libris BD fugue 2015
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Blake et Mortimer : La Marque Jaune - "Croquis préparatoire d'Edgar P. Jacobs pour la couverture de la Marque Jaune"
Edgar P. Jacobs
Tirage ?exemplaires.
format : 210 x 297 mm
Année 2015

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Ex-libris Akimoff / Parfums 137.
Dessin : E.P. Jacobs.
Tirage : ? exemplaires.
format : 60 x 154 mm
Année : Octobre 2016.
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Thark
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Re: Ex-libris : La marque jaune.

Message par Thark »

Même s'ils sont globabement superbes, ces Ex-Libris (tout juste rajoutés sur le Forum par Freric, merci pour ça !) n'ont pas tous le même impact...

J'aime particulièrement celui-ci... 8-)
D'abord, cette image (case 5, planche 33 de la MJ) présente comme toujours une solide composition, une dramaturgie typiquement jacobsienne qui emprunte autant au cinéma qu'à l'Art pictural.
Non seulement elle incarne parfaitement l'ambiance mortifère de l'album (mortifère, pas Mortimer :mrgreen: ), mais en plus elle rend superbement justice aux techniques préférées de E-P. Jacobs.
- Etroitement liés à la théâtralisation du geste de Blake (pour mieux suggérer la tension de l'instant), les éléments de 1er plan affichent des lignes tranchantes et de vigoureux aplats noirs, à l'encre de Chine & au pinceau. Les contrastes sont radicaux, intenses !
- En revanche, au fond, le hangar est traité surtout au crayon gras, avec des hachures fines et des nuances de gris qui rendent l'épais brouillard presque palpable. Les contours sont incertains, fantômatiques.
Le décor baigne dans une opacité trouble, une ambiance à couper au couteau... que même les rares zones claires accentuent encore, au lieu de l'adoucir : en effet, les rehauts de blanc ne sont là que pour renforcer l'impression d'humidité (flaques au sol) !...
De dos, la silhouette de Blake se confondrait presque avec celle de Guinea Pig...

Enfin, à travers cet espace délabré, quasi abstrait dans sa représentation en demi-teintes, quelques hachures denses et sombres dessinent des ouvertures anguleuses par où suinte l'angoissante obscurité du hangar N°7.

Une obscurité alarmante dans laquelle le capitaine va s'enfoncer à la rencontre du mystérieux Mr Smith... ( ;) ).
Mystère et expressionnisme pur jus, pur thriller, pur Jacobs ! :MJ:
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