La note de L'Onde Septimus
- Commandant Hamilton
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La note de L'Onde Septimus
Donc je mets pour la couleur et pour le dessin dans la première moitié. Mais cet album a été une trés grande déception
- Jean DAMON
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Re: La note de L'Onde Septimus
un livre totalement inutile !
D'autant que Mortimer et Olrik n'ont rien à voir avec Lefranc et Axel Borg.
Il y en a qui voient des Septimus partout ;
je craignais a priori, et là, a fortiori ...
Re: La note de L'Onde Septimus
Re: La note de L'Onde Septimus
Scénario = minable, tordu, compliqué, sans queue ni tête, sans logique ni cohérence
Dessins = mauvais, surtout du fait de la pléthore d'acteurs engagés dans la ccourse contre la montre"
Couleur= NSPP
Ensemble = médiocre. Résultat de tous les précédents
Le conseiller = JAMAIS ! Ce serait comme faire jeter 15€ par la fenêtre à l'acheteur
Re: La note de L'Onde Septimus
Je trouve que là, tu radicalises exagérément ta "critique", Kronosfriend !Kronos a écrit :Je n'aime RIEN de cet album qui est l'un des plus mauvais, voire LE plus mauvais de la bande
Scénario = minable, tordu, compliqué, sans queue ni tête, sans logique ni cohérence
Dessins = mauvais, surtout du fait de la pléthore d'acteurs engagés dans la ccourse contre la montre"
Couleur= NSPP
Ensemble = médiocre. Résultat de tous les précédents
Le conseiller = JAMAIS ! Ce serait comme faire jeter 15€ par la fenêtre à l'acheteur
- Tu ne peux nier que dans ce scénario globalement bancal et parfois fumeux, il y a tout de même quelques bonnes idées dont le résultat "à l'image" est plutôt impressionnant, parfois même troublant. J'y apprécie le retour d'un certain expressionnisme si cher à Jacobs, et la dimension surréaliste ne manque pas de charme. Bon, ceci étant dit, au final, c'est vrai que l'histoire fait "pschiitttt", encombrée de multiples clins d'oeil qui perturbent le rythme déjà lent de ce récit. Mais c'est surtout la fin de l'aventure qui est carrément pénible à lire... (pour moi).
- Pour le dessin, tu exagères, old chap : on a souvent détaillé et copieusement commenté le fait que le graphisme tient parfaitement la route dans la 1ère partie de l'album grace à l'investissement et au talent d'Antoine Aubin. Il nous a offert de très belles séquences qui feront date, certaines planches étant même mises en couleurs de façon inspirée par Laurence Croix. (9, 23, 27, 38, par exemple)... Si !
Certes, tout se dégrade spectaculairement dans la 2ème partie (surtout le dernier tiers, made in Schréder/Munuera), et c'est désolant de voir la qualité graphique se détraquer à ce point - au sein d'un même album, un vrai gâchis ! - ...
(du côté des personnages, les 4 dernières planches en particulier me font mal aux yeux !... Délai à respecter ou pas, je suis éberlué que cela ait pu être accepté en l'état au niveau éditorial... ).
Si l'on considère l'Onde Septimus dans son ensemble, le bilan est nettement contrasté, avec des hauts et des bas, mais l'album recèle pas mal de belles choses qui méritent d'être appréciées à leur juste valeur.
Alors je ne comprends pas que tu puisses assassiner à ce point toute la partie graphique, en déclarant sans nuance que le dessin est MAUVAIS... Pas d'accord ! (foi de dessinateur ! )...
Non mais, rogntud'juuu !
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Re: La note de L'Onde Septimus
Bonne soirée à tous et sus à l'acharnement inutile ! Je suis heureuse de pouvoir conseiller "L'Onde Septimus"...lol:
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Re: La note de L'Onde Septimus
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Re: La note de L'Onde Septimus
Titre : l'Océan (tome 12)
http://www.lelombard.com/albums-fiche-b ... ,2849.html
J'ai bien aimé cette série qui a atteint un sommet dans les tomes 8 et 9, à partir du No. 10 le scénario a l'air d'être en perte de qualité, enfin je trouve. Mais le dessin de Grenson reste toujours superbe.
Tout ça pour dire que Dufaux est encore toujours dans sa période "chinoise" comme on le voit dans l'Onde Septimus, ce qui donne des belles images dans le style chinois, dommage que le scénario ne soit pas à la hauteur.
Re: La note de L'Onde Septimus
J'assume pleinement
Encore une fois, c'est une critique globale car je ne veux pas disséquer planche par planche ; ce que j'aurais peut-être fait si l'ensemble ne se prêtait pas à une sévère critique du genre "qui aime bien, châtie bien !"
Il est vrai que la première partie, jusqu'à l'asile, est de bonne facture, en dépit de dessins de voitures par trop approximatifs, mais bon, tout le monde ne peut pas être fortiche ne dessins de véhicules...
Par contre, je persiste à dire que ce scénario est NUL et tout à fait indigne d'un Grand comme Dufaux
Ce qui pourrait, à l'extrême limite, être toléré de la part d'un Sente, ne le peut venant de Dufaux
Lorsqu'on a fini un livre, quel que soit son genre, tout ce qu'on en retient au final, c'est l'impression générale qui s'en est dégagée, surtout au moment des dernières pages ou planches ; et, de ce point de vue-là, c'est une cata à ne surtout pas conseiller à ses amis !!!
Re: La note de L'Onde Septimus
J'espère que ce sera encore le cas pour la suite annoncée
A ce propos, et tout à fait hors sujet, le nouveau Harry Dickson : les gardiens du gouffre, va enfin sortit, prochainement
Christian Veraeghe s'est enfin remis au taf...
Cela un petit air avec le dernier Indiana Jones et les crânes de cristal...
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Re: La note de L'Onde Septimus
Re: La note de L'Onde Septimus
Honnêtement, j'ai vraiment du mal à voir en quoi Dufaux est un "grand" scénariste...Kronos a écrit :Par contre, je persiste à dire que ce scénario est NUL et tout à fait indigne d'un Grand comme Dufaux
Ce qui pourrait, à l'extrême limite, être toléré de la part d'un Sente, ne le peut venant de Dufaux
De lui, j'ai lu :
- les 4 premiers albums de La complainte des landes perdus : plutôt bon dans l'ensemble même si certains aspects m'agacent un peu.
- les 10 premiers Niklos Koda : bof...
De bonnes idées côtoient les pires clichés et certains passages demandent quand même au lecteur de renoncer à toute idée de vraisemblance
- Jessica Blandy : j'ai juste trouvé ça très mauvais
- L'onde Septimus : je préfère ne même pas en parler...
Je vais donc essayer de lire Murena puisque apparemment c'est un de ses meilleurs scénarios mais je suis pour l'instant plus que dubitatif sur le talent qu'on lui prête
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Re: La note de L'Onde Septimus
<< les 10 premiers Niklos Koda : bof... De bonnes idées côtoient les pires clichés et certains passages demandent quand même au lecteur de renoncer à toute idée de vraisemblance >>
Ce sont des histoires fantastiques avec une bonne part de surnaturel, donc on ne doit pas y chercher de la vraisemblance totale. J'ai bien aimé les 10 premiers, mais le tome 11 (La danse du diable) : là je trouve que le scénario est en déclin, ça devient du grand cirque, et je crains que le No. 12 soit du même tonneau, enfin on verra.
Re: La note de L'Onde Septimus
J'ai par exemple bien aimé l'idée de la menace et des manifestations du sorcier du tome 1 (et le fait qu'on on ne le voit jamais)
ou tout le côté mystico-magique dans les albums au Caire et suivants
Ce sont plutôt les invraisemblances et les maladresses dans les passages sensés être les + réalistes qui m'ont dérangés.
Tout l'aspect espionnage/policier a souvent beaucoup de mal à tenir debout (à part dans l'histoire au Maroc, peut-être)
Certains personnages et certaines scènes sont totalement improbables. Même dans Lady S, c'est presque + plausible
Or pour moi, sans ce socle crédible de départ sur lequel se greffe ensuite le fantastique, tout ou presque devient assez vite bancal
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Re: La note de L'Onde Septimus
En fait c'est à cause de Grenson que j'ai commencé à lire les Koda, je lisais les Carland Cross et puis il a arrêté pour commencer les Koda alors j'ai suivi.
Re: La note de L'Onde Septimus
Moi, j'ai bien aimé (globalement) L'Onde Septimus ! Certes, il y a des différences dans le dessin et le rendu général entre le début et le dernier tiers de l'histoire (je ne suis pas dessinateur, je ne l'ai pas vu tout de suite...).
C'est bien sûr très difficile de donner une suite au chef d’œuvre qu'est La Marque Jaune, mais je ne pense pas que ce soit un crime de "lèse Jacobs" (si on me permet l'expression) que d'avoir essayé de le faire ! J'aurais plutôt tendance à saluer le travail des auteurs, qui se sont lancés dans une aventure qui relève bien d'une nouvelle ascension de l'Everest.
Au passif, une histoire qui soulève beaucoup de questions vers la fin, que je trouve hallucinée (comme Olrik...); une vaisseau spatial (p. 42) que je n'aime pas du tout (on dirait un jouet pour bambin) et dont on se demande comment il a bien pu arriver là sans que personne ne s'en aperçoive...
A l'actif, une bonne partie de la BD que je trouve réussie et mystérieuse (jusqu'à la p. 58, la suite me plait moins).
Mon récitatif préféré est p. 5 : "Lady Rowana, jeune veuve inconsolable, dont l'art consiste à choisir les fortunes solides et les maris chancelants..." : avec le dessin qui l'accompagne, on a tout compris, le tout dans une petite case ! Du grand art ! Lady Rowana écrase de sa présence, les trois autres personnages, qui semblent bien falots à côté d'elle...
J'adore aussi la p. 27 : en cassant complètement le rythme de l'organisation des autres pages avec ces 12 cases carrées, la page hypnotise le lecteur, comme l'est Olrik ! Une vraie trouvaille !