Grand merci pour ces étrennes , freric.
2021 commence sous les meilleurs auspices.
Grand merci pour ces étrennes , freric.
Encore une véritable symphonie de noirs et de blancs, de clair-obscurs, de fragments évocateurs. C'est superbement "scéno-graphique". La forme rejoint parfaitement le fond : on est véritablement en plein 'Opéra de papier' !
présentation de l'éditeur a écrit :L’aventure dessinée de Edgar P. Jacobs.
Amateur d’art antique égyptien, collectionneur d’armes en tous genres, chanteur lyrique amoureux de la scène… Avant d’être le créateur de Blake et Mortimer, Edgar P. Jacobs est un homme d’une grande curiosité, animé par des passions nombreuses qui ont toute sa vie transporté son imagination. Ainsi, à 18 ans, il se rêve davantage en chanteur d’opéra qu’en dessinateur de bande dessinée. Malgré un passage à l’Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles, il préfère considérer le dessin comme un gagne-pain et non comme une véritable vocation. Mais la guerre arrive et dans les années 1940, les Allemands exigent que le contenu de la série américaine Flash Gordon soit repris et modifié. La tache revient à Jacobs qui fournit ensuite au journal les planches de sa première série : Le Rayon U. Plus tard, il rencontre Hergé, l'assiste sur Tintin – sans jamais être crédité – et finit par créer les aventures de deux héros anglais appelés à devenir des incontournables du genre : le colonel Francis Blake et le professeur Philip Mortimer. La bande dessinée est devenue son art et son métier, mais l'histoire de Jacobs ne s’arrête pas là...
À l'occasion de l'anniversaire de la première publication des aventures de Blake et Mortimer dans le journal Tintin il y a 75 ans, voici le portrait biographique de l’un des plus grands auteurs du Neuvième Art. François Rivière, qui s’est longuement entretenu avec le maitre de son vivant, y raconte l'artiste au travers de nombreuses et fascinantes anecdotes qui ont constitué la vie de l’auteur belge. Philippe Wurm, l'un des héritiers évidents et revendiqués de la ligne Jacobs, met en scène cette fascinante destinée « à la manière de », d'un trait fin et précis confondant de mimétisme.
L'ouvrage se déclinera en deux éditions : Jacobs - Le rêveur d'apocalypses propose la bande dessinée complète en couleurs complétée d'un appareil critique succinct détaillant « l'homme Jacobs ». Jacobs - Le rêveur d'apocalypse - édition spéciale est l'édition luxe du même ouvrage, en noir et blanc, enrichie d'un appareil critique très dense (photographies, cartes postales, documents d'époque, notes, essais...) sur les coulisses de la création de l'œuvre de Jacobs et les recherches effectuées par Wurm et Rivière. Car le moindre des paradoxes n'est pas que Jacobs a inventé des mondes et des voyages extraordinaires, aux quatre coins du monde et au-delà des univers connus, sans jamais quitter - ou presque - Bruxelles et ses environs...
Du moment que cela sort avant Noël...
La version classique Glénat :
La version Tirage de luxe en noir et blanc :
Et un tirage spécial pour la librairie "La parenthèse"
Ceci dit, si on me demandait quelle est ma couverture préférée parmi les trois présentées ici (le tirage spécial pour la librairie "La parenthèse" étant en fait une version enrichie du visuel qui a longtemps été présenté comme provisoire), je choisirais probablement... la version "classique" Glénat.Dossier de Presse a écrit :.../... un appareil critique très dense (photographies, cartes postales, documents d’époque, notes, essais...) sur les coulisses de la création de l’oeuvre de Jacobs et les recherches effectuées par Wurm et Rivière.
Le gros inconvénient, c'est qu'elle est en noir et blanc !
La grande vague de Kanagawa de K. Hokusai qui semble avoir inspiré Jacobs.
Je plussoie.
Certes .freric a écrit : ↑02 nov. 2021, 10:33.../...
Archibald, la fameuse vague n'est peut-être pas que ce fameux tableau, mais aussi cette illustration d'Henri Lanos, avec les météorites.
Je ne dirais pas que c'est un 'inconvénient' car les planches en noir et blanc sont de toute beauté, mais c'est vrai que - pour ce que j'ai pu en voir - les couleurs sont très réussies et contribuent fortement aux ambiances et souvenirs jacobsiens qui sont évoqués dans cette "bio-graphique".
"C'est pas faux !".......