Comment définir une bonne histoire...

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Kronos
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Comment définir une bonne histoire...

Message par Kronos »

Je suis bien d'accord, mais pourquoi aucun auteur n'a-t-il proposé de script ou de scénar à Dargaud sur ce créneau
Le manque d'imagination ? Je ne le crois guère
Et, une bonne histoire, c'est avant tout... une bonne histoire, n'est-il pas ? :lol:
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archibald
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Re: Ce que l'on sait du 31ème album : Les revenants du Doggerland (fin 2024?)

Message par archibald »

jyb a écrit :
19 sept. 2022, 23:05
.../...
Je crains aussi qu'auteurs et éditeur ne sont certains qu'ils ont réalisé une bonne histoire que lorsque les lecteurs disent, après avoir tourné la dernier page de l'album : "C'est une bonne histoire". Mais avant ce verdict, ils (auteurs et éditeur) n'en sont jamais sûrs, et ne font qu'y croire en espérant que leur histoire plaira...
C'est pourquoi je disais plus haut que cette affaire est un grave problème (qui touche toutes les séries, pas seulement B&M).
Nous sommes un peu hors sujet; mais la question des critères d'une bonne histoire me tourne dans la tête depuis quelque jours. Tu as raison c'est le lecteur qui décidera si une histoire est bonne... pour lui bien entendu.
Donc cela reste subjectif.
La question que je me pose est la suivante: "Est-ce que pour les éditeurs le critère d'une bonne histoire est une histoire qui fera vendre ?" .
Je suis sans doute méchant , mais dans le cas des reprises, les scénaristes ne seraient-ils pas limités dans le temps , et par l'éditeur. Leur préoccupation serait alors de livrer une histoire dans les délais au détriment de la qualité du scénario. Leur principal souci ne serait-il pas le nombre des ventes? Ce que je pourrais comprendre bien évidemment.
Je présume que du temps des magazines de BD , genre Tintin, Spirou ,Pilote, il était plus facile pour les scénaristes et les dessinateurs de se faire connaitre avec des histoires originales . Le critère d'une bonne histoire était alors la publication en album . Il y avait déjà certes des séries mais c'était généralement la même équipe.
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jyb
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Re: Ce que l'on sait du 31ème album : Les revenants du Doggerland (fin 2024?)

Message par jyb »

archibald a écrit :
23 sept. 2022, 10:41
jyb a écrit :
19 sept. 2022, 23:05
.../...
Je crains aussi qu'auteurs et éditeur ne sont certains qu'ils ont réalisé une bonne histoire que lorsque les lecteurs disent, après avoir tourné la dernier page de l'album : "C'est une bonne histoire". Mais avant ce verdict, ils (auteurs et éditeur) n'en sont jamais sûrs, et ne font qu'y croire en espérant que leur histoire plaira...
C'est pourquoi je disais plus haut que cette affaire est un grave problème (qui touche toutes les séries, pas seulement B&M).
Nous sommes un peu hors sujet;
Il y a peut-être un topic quelque part sur le forum qui permet de parler de ce qu'est un bon scénario, une bonne histoire ?
archibald a écrit :
23 sept. 2022, 10:41
mais la question des critères d'une bonne histoire me tourne dans la tête depuis quelque jours. Tu as raison c'est le lecteur qui décidera si une histoire est bonne... pour lui bien entendu.
Donc cela reste subjectif.
Oui, mais enfin, grosso modo, une bonne histoire a des chances d'être appréciée comme telle par le plus grand nombre.
archibald a écrit :
23 sept. 2022, 10:41
La question que je me pose est la suivante: "Est-ce que pour les éditeurs le critère d'une bonne histoire est une histoire qui fera vendre ?"
Il y en a qui le disent après coup : "Ça se vend bien, donc c'est une bonne histoire". Hélas, sans voir que s'il y a les noms "Blake et Mortimer" sur une couverture (ou "Astérix", ou "Buck Danny", etc., la liste est longue), ça se vendra toujours très bien, quelle que soit la qualité des dessins ou du scénario à l'intérieur, juste grâce à la notoriété du héros... C'est là LE gros problème de reprises pareilles...
archibald a écrit :
23 sept. 2022, 10:41
Je suis sans doute méchant , mais dans le cas des reprises, les scénaristes ne seraient-ils pas limités dans le temps , et par l'éditeur. Leur préoccupation serait alors de livrer une histoire dans les délais au détriment de la qualité du scénario. Leur principal souci ne serait-il pas le nombre des ventes? Ce que je pourrais comprendre bien évidemment.
On connaît tous des auteurs (pas que de BD, mais des auteurs de chansons, etc.) qui écrivent très vite et en faisant dans la qualité. Le temps n'a rien à voir à l'affaire. Un auteur médiocre peut passer 10 ans à peaufiner un scénario, si l'histoire est mauvaise, et si l'auteur est mauvais, ça restera une mauvaise histoire, le temps n'y changera rien. L'astuce consiste donc à trouver un auteur rapide et bon.
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Re: Comment définir une bonne histoire...

Message par archibald »

J'ai déplacé ces messages pour créer un nouveau sujet.
A chaque nouvelle album qui sort , certains , dont je fais partie , ne sont pas satisfaits par ce qu'ils viennent de lire.
Bien souvent c'est le scénario qui laisse dubitatif.
Les pinailleurs dont je fais également partie , cherchent les incohérences, les erreurs historiques , géographiques chronologiques .... que sais-je !
Dans mon cas , c'est souvent pour trouver un intérêt à la relecture.
Après la période de sortie de l'album , je ne relis que très peu les tous derniers B&M ( contre j'ai l'impression de connaitre par cœur la Marque Jaune bien que je redécouvre encore des choses à chaque nouvelle lecture.
Je me disperse ! :p)
Mon but premier était de faire une sorte de 'prologue' d'un nouveau sujet en déplaçant nos dernières digressions du sujet sur Les revenants du Doggerland ... :roll:
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Re: Ce que l'on sait du 31ème album : Les revenants du Doggerland (fin 2024?)

Message par archibald »

archibald a écrit :
23 sept. 2022, 10:41
.../...
Je suis sans doute méchant , mais dans le cas des reprises, les scénaristes ne seraient-ils pas limités dans le temps , et par l'éditeur. Leur préoccupation serait alors de livrer une histoire dans les délais au détriment de la qualité du scénario. Leur principal souci ne serait-il pas le nombre des ventes? Ce que je pourrais comprendre bien évidemment.
.../...
J'étais méchant effectivement .François Cortéggiani a fait du bon boulot avec Colin Wilson, puis Michel Blanc Dumont pour la Jeunesse de Blueberry.
Je ne dis pas cela parce qu'il vient de mourir , mais parce que ses histoires sont tellement dans la lignée de Charlier que l'on finit par oublier que ce n'est pas le même scénariste.... ;)
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Re: Comment définir une bonne histoire...

Message par archibald »

Une bonne histoire ? Jean Gabin avait surement une définition à lui...

Je n'ai pas trouvé d'interview où il le dit , mais j'ai regardé avec attention ceci:

Ce qu'il dit , après les trois premières minutes, m'a interpellé. Une bonne histoire peut-elle être temporelle ?
Un peu plus (vers les 9 minutes) il dit que "le jour se lève", considéré comme un chef d’œuvre du cinéma, a fait un bide à sa sortie.
Une bonne histoire peut elle une question d'époque?
Je vous laisse réfléchir sur ces interrogations comme je le fais actuellement... ;)
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Re: Comment définir une bonne histoire...

Message par jyb »

Ce que dit Lino Ventura, d'autres l'ont dit : "Un bon film, c'est 1° une bonne histoire, 2° une bonne histoire et 3° une bonne histoire...". Dans le milieu de la BD, j'ai entendu la même chose de la part d'Hergé, de Franquin... (et moi aussi je le dis...). Mais ça ne répond pas à LA question : "Qu'est-ce qu'une bonne histoire ?"
Pour avancer une caractéristique, et pour répondre cette fois à Jean Gabin (voir sa vidéo plus haut) et à Archibald qui se pose des questions, je peux déjà dire qu'une bonne histoire restera bonne quelle que soit l'époque où elle a été écrite, quelle soit la période où elle sera lue (ou regardée au cinéma ou à la télé), et quel que soit le public...
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archibald
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Re: Comment définir une bonne histoire...

Message par archibald »

Je ne sais pas si nous avons la même définition de la temporalité...
:-?
Pour moi l'écriture d'une histoire est liée à l'instant , le moment où elle est écrite. Cela me semble plus qu'évident dans le cas de la Science-Fiction. Elle est liée également au public à qui l'on souhaite s'adresser.

Gabin dit dans son interview que l'exigence du public a évolué du fait que "l'évolution" spectateurs qui avaient une certaine exigence,, ayant déjà vu pas mal de choses au cinéma auparavant .

Des dessinateurs , comme par exemple , Philippe Druillet ou Guy Peellaert,'auraient-ils été publié au début du du dix-neuvième siècle.
Dans le domaine de l'art, je suis toujours étonné de savoir que Van Gogh n’a vendu qu’un seul tableau de son vivant.
Donc oui , je pense sérieusement que la création d'une œuvre d'art, de même que la compréhension du public, est liée au temps (dans le sens époque ) .
Je m’aperçois que je parle dessin et non pas histoire certes. mais dans la bande dessinée est un mélange des deux.
Parlons scenarii ... Plus particulièrement western.
Je pense que la Saga du lieutenant Blueberry n'aurait pas eu de succès dans les années 50, où l'on ne intéressait pas aux antihéros . Peut être aussi parce qu'il y avait la loi no 49-956 du 16 juillet 1949 sur les publications destinées à la jeunesse.
Tiens ! Ne serait ce que pour cela , l'écriture d'un récit est liée à la législation du moment.
Et les récits se basant sur des faits historiques , comme par exemple les Buck Danny.

Mais je n'ai toujours pas la recette pour écrire une bonne histoire.
Il existe des formations pour l'écriture de scenarii ou de livres , mais je ne pense que ce soit suffisant. ;)
Par curiosité , j'ai regardé ce tutorial :

Cinq questions supplémentaires .... :D
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Re: Comment définir une bonne histoire...

Message par jyb »

archibald a écrit :
01 oct. 2022, 10:22
Je ne sais pas si nous avons la même définition de la temporalité...
:-?
Pour moi l'écriture d'une histoire est liée à l'instant , le moment où elle est écrite. Cela me semble plus qu'évident dans le cas de la Science-Fiction. Elle est liée également au public à qui l'on souhaite s'adresser.

Gabin dit dans son interview que l'exigence du public a évolué du fait que "l'évolution" spectateurs qui avaient une certaine exigence,, ayant déjà vu pas mal de choses au cinéma auparavant .

Des dessinateurs , comme par exemple , Philippe Druillet ou Guy Peellaert,'auraient-ils été publié au début du du dix-neuvième siècle.
Dans le domaine de l'art, je suis toujours étonné de savoir que Van Gogh n’a vendu qu’un seul tableau de son vivant.
Donc oui , je pense sérieusement que la création d'une œuvre d'art, de même que la compréhension du public, est liée au temps (dans le sens époque ) .
Je m’aperçois que je parle dessin et non pas histoire certes. mais dans la bande dessinée est un mélange des deux.
Parlons scenarii ... Plus particulièrement western.
Je pense que la Saga du lieutenant Blueberry n'aurait pas eu de succès dans les années 50, où l'on ne intéressait pas aux antihéros . Peut être aussi parce qu'il y avait la loi no 49-956 du 16 juillet 1949 sur les publications destinées à la jeunesse.
Tiens ! Ne serait ce que pour cela , l'écriture d'un récit est liée à la législation du moment.
Et les récits se basant sur des faits historiques , comme par exemple les Buck Danny.
L'Iliade et l'Odyssée, toujours une très bonne histoire (écrite en 800 avant JC). Les trois mousquetaires, toujours une très bonne histoire (XIXe siècle). Les fables de La Fontaine, très bonnes histoires (écrites au XVIIe siècle). Le salaire de la peur, toujours très bonne histoire (d'après un roman écrit en 1949). Apocalypse now, très bonne histoire (inspiré du roman de Joseph Conrad Au coeur des ténèbres écrit en 1899). Etc. Thèmes différents, époques différentes, genres différents, etc. Mais encore, de nos jours, de très bonnes histoires.

archibald a écrit :
01 oct. 2022, 10:22
Par curiosité , j'ai regardé ce tutorial :

Cinq questions supplémentaires .... :D
Ben on n'est pas aidé, avec ce tutoriel. Le côté "fiche cuisine" pour réussir un plat, les propos "enfoncement de portes ouvertes", et les réflexions personnelles qui restent à la surface des choses, et souvent à côté de la plaque, tout ça nous éloigne de la question de fond : "Qu'est-ce qu'une bonne histoire ?"...
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Re: Comment définir une bonne histoire...

Message par Lionel Orlock »

Pour moi une bonne histoire c'est quelque chose qui touche, qui émeut, qui ne laisse pas indifférent. (Qui captive suffisamment le lecteur pour l'emmener dans le monde décrit) :geek:
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Re: Comment définir une bonne histoire...

Message par jyb »

Lionel Orlock a écrit :
04 oct. 2022, 15:53
Pour moi une bonne histoire c'est quelque chose qui touche, qui émeut, qui ne laisse pas indifférent. (Qui captive suffisamment le lecteur pour l'emmener dans le monde décrit)
Oui, certes, mais ça ne répond toujours pas à la question de savoir pourquoi et comment une histoire touche, émeut, ne laisse pas indifférent, captive le lecteur, etc. La question de départ concerne (c'était, selon moi, le début de la discussion sur un autre topic) les ressorts, la technique narrative et en résumé le travail du scénariste, qui font qu'une histoire ait ces caractéristiques et soit considérée par les lecteurs comme bonne voire très bonne - et soit considérée dès l'origine, par l'auteur lui-même, comme bonne voire très bonne, et aussi par l'éditeur qui va la publier, tout ceci avant de savoir l'avis des lecteurs.
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Re: Comment définir une bonne histoire...

Message par archibald »

jyb a écrit :
06 oct. 2022, 10:11
"..../.... La question de départ concerne (c'était, selon moi, le début de la discussion sur un autre topic) ..../...
Effectivement ! Celui ci pour être précis... :p
A chaque nouvelle annonce , on se pose la même question. :D
jyb a écrit :
06 oct. 2022, 10:11
... /... les ressorts, la technique narrative et en résumé le travail du scénariste, qui font qu'une histoire ait ces caractéristiques et soit considérée par les lecteurs comme bonne voire très bonne - et soit considérée dès l'origine, par l'auteur lui-même, comme bonne voire très bonne, et aussi par l'éditeur qui va la publier, tout ceci avant de savoir l'avis des lecteurs.
Je me rends compte que nous ne partons pas du tout de la même chose. Moi je pense plus à l'idée de départ du récit et au déroulement de l'action .
Si le sujet ne m'intéresse pas plus que cela , aucune chance que je trouve que l'histoire est bonne , mais si techniquement elle peut être considérée comme bonne.
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Re: Comment définir une bonne histoire...

Message par jyb »

archibald a écrit :
06 oct. 2022, 11:38
Je me rends compte que nous ne partons pas du tout de la même chose. Moi je pense plus à l'idée de départ du récit et au déroulement de l'action .
Si le sujet ne m'intéresse pas plus que cela , aucune chance que je trouve que l'histoire est bonne , mais si techniquement elle peut être considérée comme bonne.
Si, à la question : "Comment définir une bonne histoire ?", tu réponds : "Si le sujet ne m'intéresse pas, aucune chance que je trouve bonne l'histoire", tu réponds à côté, encore une fois. La question n'est pas de savoir si un sujet plaît ou non aux lecteurs, et la définition d'une bonne histoire n'est pas l'intérêt qu'ont ces lecteurs pour le sujet de n'importe quelle histoire.
En plus, c'est bien connu qu'une scène de sexe (ou d'érotisme) dans n'importe quel album attire toujours plus de monde. Il y aura toujours plus de lecteurs intéressés par un album ayant une scène de cul. Mais une scène de cul, si elle fait vendre, ne fait pas, ne fera jamais, une bonne histoire.
Il y a aussi des séries BD "à niche" : les séries d'aviation, d'automobiles, etc. Il y a des fans qui achètent d'office ces séries essentiellement parce qu'il y a des avions, des voitures, etc. Cela ne fait pas pour autant de bonnes histoires ! Ça se saurait...
Dans la question de savoir ce qu'est une bonne histoire, il ne s'agit pas de avoir si le thème plaît ou pas. Un thème peut être très bien traité par un scénariste, et le même thème très mal traité par un autre scénariste. Tout dépend du talent des scénaristes à imaginer puis à raconter une bonne histoire. Donc, j'y reviens : qu'est-ce qu'une bonne histoire ? Et question connexe : comment des auteurs qui écrivent cette histoire, et comme les éditeurs qui vont la publier, savent-ils à l'avance que c'est une bonne histoire ? Il doit bien y avoir des indices...?
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Re: Comment définir une bonne histoire...

Message par archibald »

jyb a écrit :
07 oct. 2022, 08:38
..../...Si, à la question : "Comment définir une bonne histoire ?", tu réponds : "Si le sujet ne m'intéresse pas, aucune chance que je trouve bonne l'histoire", tu réponds à côté, encore une fois. .../...
Je ne répondais pas à la question . Je constatais simplement que nous ne parlions pas de la même chose. Moi je parle du fond et toi plus de la forme . ;)
PS:Dans ma pensée, une histoire , c'est plus qu'un scénario destiné à être vendu. Cela peut être uniquement oral , comme les histoires que l'on raconte aux enfants. ;)
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