Je trouve vraiment détestable tout ce discours marketing... et en même temps très révélateur de l'approche de l'éditeur
"valeurs, cible primaire, secteurs en affinité"...
on croirait la présentation de Saugrenus à César dans
Obélix et Compagnie
l'aspect artistique, le contenu des albums, on s'en moque complètement, tout ce qui compte c'est la marque (le "branding" comme ils disent en marketing)