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Le soir n°120 du 23/05/2019

Posté : 23 mai 2019, 16:51
par freric
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Magazine : Le soir
Numéro : 120
Date : 23 mai 2019
Prix à la vente : 1,70€
Éditeur :
Auteur : Daniel Couvreur
Dépôt légal : -
Dimensions : - x - mm
Nombre de pages : - pages
Couverture : libre
Note
- Pages 22 & 23 : Article sur "Le dernier pharaon"

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Re: Le soir n°120 du 23/05/2019

Posté : 24 mai 2019, 11:43
par archibald
Merci pour ce partage et pour le précèdent viewtopic.php?f=145&t=3568&p=50624#p50624.
Bonnes questions de Daniel Couvreur.
La lecture de ces articles est très instructive. Je pense qu'il va falloir que je me renseigne un peu plus sur le Palais de Justice de Bruxelles et son architecte Joseph Poelaert, avant d'entammer la lecture du Dernier Pharaon.
Je viens de lire :
Joseph Poelaert avait longuement hésité entre la carrière de pianiste et l'architecture, il choisit finalement l'architecture, mais continua à pratiquer toute sa vie le piano, aimant à y improviser des thèmes mélodiques.
Je ne sais pas pourquoi mais cela me rappelle quelqu'un ... :roll: :p

Re: Le soir n°120 du 23/05/2019

Posté : 21 oct. 2019, 23:11
par Illy Ziemens
magnificent drawings! Superb artwork!
But poor reading (or awfull translations?)

Re: Le soir n°120 du 23/05/2019

Posté : 10 nov. 2019, 15:40
par Erca
J'ignorais que Schuiten avait été jusqu'à visiter la Grande Pyramide, et jusqu'à dessiner à l'intérieur de celle-ci ! Son récit a vraiment quelque chose de fascinant en termes de création. Il donne toute sa valeur à l'oeuvre de "reprise" de la série, comme on dit communément. Avec un tel investissement, on pourrait parler à plus juste titre d'un véritable "prolongement" de l'oeuvre de Jacobs. Entreprise à laquelle il rend un vibrant hommage, propre à faire tomber les derniers scepticismes (à mon humble avis).
François Schuiten a écrit :J'ai pu expérimenter le fait que l'oeuvre de Jacobs est suffisamment forte pour être traversée par des regards d'auteurs contemporains, sans que cela n'entache en rien la magie de la création originelle. A l'arrivée, ce qui me trouble, c'est que sans les albums parus depuis la mort de Jacobs, personne ne parlerait plus de Blake et Mortimer. Chaque nouvel album demeure un événement et j'ose croire que Jacobs en serait fier.