Voici le lien vers la version audio sur France Info (et la version article, quelque peu abrégée) que J.C. Ogier a intitulée :

Cette séquence audio n'est évidemment qu'une approche rapide et très fragmentaire. On ne peut pas résumer un auteur pareil en seulement 2 mn 30 !
Pour souligner tout spécialement ce que Fromental avait dans ses 'bagages' au moment de s'aventurer du côté de Blake et Mortimer pour un récit inédit se déroulant dans les 60s (avec José-Louis Bocquet comme co-scénariste et Antoine Aubin comme dessinateur), j'ai envie de replacer ici une partie des mots prononcés par Miles Hyman, excellent illustrateur qui a déjà brillamment œuvré à ses côtés [leur collaboration offrant d'ailleurs un nouvel album alléchant - à sortir en octobre chez Dupuis, avant le B&M -, "Une Romance anglaise", cf visuel ci-dessous à droite] :
Miles Hyman a écrit :"Le style de Jean-Luc Fromental, c’est la dextérité et la complexité avec lesquelles il traite beaucoup de sujets différents. Il peut mêler dans une même histoire la guerre froide et sa passion de la littérature, de la musique et du cinéma. C'est très fluide et il manie tous ces éléments avec beaucoup de finesse."
Des éléments qui, justement, transparaissent dans la plupart des extraits de "Huit heures à Berlin" que l'on a pu découvrir au fil des années dans le sujet




MILES HYMAN, © DUPUIS / AUBIN, © BLAKE ET MORTIMER / MILES HYMAN, © DUPUIS