Les clins d'œil Atlantes

[Bobby Cowen II]

57, Wimpole Street.

Planche 05, case B1



L'individu à la cape s'arrête devant le 57 Wimpole Street.
Cette adresse ne vous dit rien ?
On dirait un endroit ordinaire ?
En 1963, Paul McCartney, jeune rock star de 21 ans, a vécu ici avec la famille de sa petite amie Jane Asher (Qui avait 18 ans).

Au sous-sol, John Lennon et Paul McCartney ont écrit "I Wanna Hold Your Hand", et dans la chambre, au sommet de la maison, Paul McCartney a écrit "Yesterday" !

Ce n'est pas l'unique clin d'œil aux Beatles dans la série Blake et Mortimer.

D'ailleurs à la planche 01, dernière case, Grossgrabenstein se rend au "64, Grosse Freiheit"
Dans les années 1960, les Beatles se produisaient dans des clubs de rue, par ex. dans Große Freiheit 36 ​​(Kaiserkeller), Große Freiheit 64 (aujourd'hui Indra-Musikclub) et dans Große Freiheit 39 (le Star-Club, 1962-1969).

[Laszlo Carreidas]

L'album n'est pas publié que déjà, on en distingue les références !
C'est loin d'être la première fois que les Beatles sont indirectement présents dans un album de reprise de Blake et Mortimer.
Je crois me souvenir qu'il y en a une autre, encore plus subtile, dans une autre histoire d'Yves Sente.

[James]

Oui, dans "La machination Voronov"

[Bobby Cowen II]

Oui, dans "La machination Voronov"

Exact, c'était par ici

[Olivier]

Il y a au moins un autre clin d'oeil aux Beatles dans un précédent album...

Petit clin d'oeil en hommage à André Juillard, notre cher professeur se remet de ses émotions en dégustant un verre de spiritueux écossais, le même qu'appréciaient ces deux auteurs.

[freric]

Il y a un clin d'oeil aux Beatles dans :
- La machination Voronov
- Le dernier Espadon
- La menace Atlante

[archibald]

Il y a un clin d’œil aux Beatles dans :
- La machination Voronov
- Le dernier Espadon
- La menace Atlante

& dans:
- La vallée des immortels - Le millième bras du Mékong
- Signé Olrik
...

[Laszlo Carreidas]

.../...
C'est loin d'être la première fois que les Beatles sont indirectement présents dans un album de reprise de Blake et Mortimer.
Je crois me souvenir qu'il y en a une autre, encore plus subtile, dans une autre histoire d'Yves Sente.

Voilà, je l'ai retrouvé. C'est à ce clin d'œil-là que je faisais référence. C'était donc bien dans Le Dernier Espadon.

Merci Freric et archibald pour les liens supplémentaires

[Kronos]

Comme bien trop souvent depuis un certain nombre d'albums, les dessinateurs font le concours de celui qui mettra le plus de "clins d'oeil", "hommages" ou "repompages" de chez Jacobs
ET c'est énième avatar n'y échappe donc pas, de tous horizons, en plus, comme vous l'allez voir :
Premier "clin d'oeil", l'oeil qui s'ouvre sur la salle de repos où Blake et Mortimer se réveillent...

[Kronos]

Deuxième "clin doeil", la scène planche 37, dans laquelle nos héros se font mitrailler...

Quelle imagination, vraiment !!!

[Prisoner]

Comme bien trop souvent depuis un certain nombre d'albums, les dessinateurs font le concours de celui qui mettra le plus de "clins d'oeil", "hommages" ou "repompages" de chez Jacobs
ET c'est énième avatar n'y échappe donc pas, de tous horizons, en plus, comme vous l'allez voir :
Premier "clin d'oeil", l'oeil qui s'ouvre sur la salle de repos où Blake et Mortimer se réveillent...Clins d'oeil 1.jpg

Bah si c'est leur façon d'ouvrir et de fabriquer ces "portes".

[Kronos]

Le dessinateur ne s'est même pas donné la peine de modifier, ou à peine, l'envol des vaisseaux atlantes, pour les redessiner, vignette inversée...

Facile...

[Kronos]

Dans l'Atlantide, c'était la maison où les conjurés se rencontraient, dans la Menace, c'est la résidence d'un "fidèle"
On retourne le bâtiment, on le retouche légèrement et c'est reparti !

[Kronos]

Planche 45, le dessinateur a carrément repris la même scène, en en modifiant juste quelques détails chez les conjurés...

Pourquoi se faiguer au final ?

[Kronos]

Où l'on retrouve en Nouvelle Atlantide, le Palais de Basileus reconstruit presque à l'identique... C'est beau !

Bon, Van Dongen ne s'est pas foulé à refaire toutes colonnes et a mis des gradins

[Treblig]

C'est vraiment ce que j'appellerai du "DAGV" (Dessin à Grande Vitesse) ... mais, il est vrai qu'un rendement annuel de parution, exigé depuis quelques années, est difficilement compatible avec l'insertion de détails, comme le faisait parfaitement Jacobs en son temps !!!