Re: Les couleurs des rééditions
Posté : 26 nov. 2023, 10:55
Hello Thark, chers amis !
J'ai lu (bu comme du petit lait plutôt !) vos échanges avec un grand intérêt. Et effectivement, on s'y perd à vouloir trouver la colorisation idéale (forcément subjective) pour notre collection...
J'ai l'impression que deux paramètres rentrent en compte : les colorisations à proprement parler (et si j'ai bien compris, il n'en existe, officiellement, que deux : l'originelle et celle développée par les studios Jacobs au début des années 80...) et les impressions elles-mêmes qui, soit en raison du support (le côté parchemin des journaux de Tintin VS les premières éditions album) soit d'un étalonnage global de l'imprimeur, passent par de nombreuses nuances.
Par exemple, mon édition 2017 de SOS Météores diffère elle aussi de toutes les autres versions scannées regroupées ici. Moins flashy, moins contrastée. A mi-chemin entre celles du Lombard et celles de 1993. Je la trouve très acceptable personnellement (bon compromis entre les couleurs et le côté haute-définition des éditions récentes).
Cela ne peut venir que d'un choix "post-colorisation", une balance globale des teintes et de la saturation des couleurs (poussée à l'extrême dans la troisième vignette - celle notée "Studio Jacobs (!) - qui, il faut l'avouer, est furieusement ratée !)
J'ai lu (bu comme du petit lait plutôt !) vos échanges avec un grand intérêt. Et effectivement, on s'y perd à vouloir trouver la colorisation idéale (forcément subjective) pour notre collection...
J'ai l'impression que deux paramètres rentrent en compte : les colorisations à proprement parler (et si j'ai bien compris, il n'en existe, officiellement, que deux : l'originelle et celle développée par les studios Jacobs au début des années 80...) et les impressions elles-mêmes qui, soit en raison du support (le côté parchemin des journaux de Tintin VS les premières éditions album) soit d'un étalonnage global de l'imprimeur, passent par de nombreuses nuances.
Par exemple, mon édition 2017 de SOS Météores diffère elle aussi de toutes les autres versions scannées regroupées ici. Moins flashy, moins contrastée. A mi-chemin entre celles du Lombard et celles de 1993. Je la trouve très acceptable personnellement (bon compromis entre les couleurs et le côté haute-définition des éditions récentes).
Cela ne peut venir que d'un choix "post-colorisation", une balance globale des teintes et de la saturation des couleurs (poussée à l'extrême dans la troisième vignette - celle notée "Studio Jacobs (!) - qui, il faut l'avouer, est furieusement ratée !)