
Le mieux c'est encore de laisser une review dans le site, ou alors, afin de limiter le HS, de continuer cette conversation ici ! http://www.centaurclub.com/forum/viewto ... anfictions
Je crains que ce soit moi qui ai dit ça... D'ailleurs, je maintiens. Et je vois en parcourant ton post que tu es d'accord.Thark a écrit :Comme je ne sais plus qui l'a déjà dit à propos des longues discussions autour des datations ou des "subtilités" automobiles/mécaniques qui apparaissent dans l'album, à force il y a peut-être le risque de bloquer ou de paralyser toute volonté d'initiative et de créativité pure chez les auteurs !
Plusieurs solutions évidentes, logiques et simples :Thark a écrit :Alors, que faire ?!? Ne rien dire et faire de l'auto-censure au risque de cautionner n'importe quoi ?
COOL ! Je crois que c'est la 1ère fois que je vois (enfin) ces questions posées de façon aussi directes... et la 1ère fois que je réalise que personnellement je n'ai jamais rien lu/entendu de précis sur la (les) question(s) que tu poses, JYB ! Surtout concernant la 1ère et la plus déterminante de toutes...jyb a écrit :Donc, voici trois questions de naïf :
- question 1, qui rejoint ma première consigne : est-ce Jacobs lui-même qui a demandé à ce qu'on poursuive sa série après sa mort ?
- question 2 : si oui, Jacobs n'imaginait-il pas que ses successeurs poursuivraient la série par des histoires CONTEMPORAINES ?
- question 3 : si Jacobs n'était pas mort, n'aurait-il pas continué sa série avec des histoires contemporaines ?
Argh !,Kronos a écrit :Ma très chètre Mitsu, ça pa être possib car ils seraient nonagénaires et même centenaires, cacochymes et grabataires, après toutes leurs turpitudes passées...
Tu les vois avec couches-culottes spéciales absorbantes ??? Tu les vois, dis ???
1) Il serait plutôt étonnant qu'un auteur DEMANDE qu'on poursuive sa série, il faudrait se contenter de dire qu'il ne l'interdit PAS, ce qui est une fameuse nuance.Thark a écrit :COOL ! Je crois que c'est la 1ère fois que je vois (enfin) ces questions posées de façon aussi directes... et la 1ère fois que je réalise que personnellement je n'ai jamais rien lu/entendu de précis sur la (les) question(s) que tu poses, JYB ! Surtout concernant la 1ère et la plus déterminante de toutes...jyb a écrit :Donc, voici trois questions de naïf :
- question 1, qui rejoint ma première consigne : est-ce Jacobs lui-même qui a demandé à ce qu'on poursuive sa série après sa mort ?
- question 2 : si oui, Jacobs n'imaginait-il pas que ses successeurs poursuivraient la série par des histoires CONTEMPORAINES ?
- question 3 : si Jacobs n'était pas mort, n'aurait-il pas continué sa série avec des histoires contemporaines ?
Y'a-t-il jamais eu de disposition testamentaire (traduire : un voeu écrit et formulé noir sur blanc par Jacobs !) demandant expressément que la série Blake & Mortimer soit poursuivie - au-delà des 3 formules, bien sûr - par de nouveaux auteurs ?!?
Jacobs écrivait des histoires se passant à son époque, mais le problème c'est le hiatus qui s'est créé depuis les 3 formules... B&M de 1946 à 1977, ca va à peu près (encore qu'à partir des années 60 c'est assez "distendu"), mais sauter soudainement à 2012 ferait bizarre.Mitsugoro a écrit :Autre possibilité: reprendre la série avec des mecs vraiment doués qui ne regardent pas la série de haut et qui ne jouent pas la carte du retro pour vendre. Je veux voir Blake et Mortimer en 2012, moi !
Non, Thark, ce sont des questions de faux naïf que j'ai posées, car je crois - pour ne pas dire que je suis sûr - que cette question de la volonté ou non de Jacobs de laisser d'autres auteurs poursuivre la série B&M après son décès a déjà été discutée (sur ce forum sans doute, d'ailleurs) ; en fait, je ne faisais qu'enfoncer une porte ouverte, et je demandais ça maintenant pour qu'un de nos éminents spécialistes de Jacobs - ce que je ne suis pas - nous rappelle ce qu'on sait à ce sujet.Thark a écrit :COOL ! Je crois que c'est la 1ère fois que je vois (enfin) ces questions posées de façon aussi directes... et la 1ère fois que je réalise que personnellement je n'ai jamais rien lu/entendu de précis sur la (les) question(s) que tu poses, JYB ! Surtout concernant la 1ère et la plus déterminante de toutes...jyb a écrit :Donc, voici trois questions de naïf :
- question 1, qui rejoint ma première consigne : est-ce Jacobs lui-même qui a demandé à ce qu'on poursuive sa série après sa mort ?
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Y'a-t-il jamais eu de disposition testamentaire (traduire : un voeu écrit et formulé noir sur blanc par Jacobs !) demandant expressément que la série Blake & Mortimer soit poursuivie - au-delà des 3 formules, bien sûr - par de nouveaux auteurs ?!?
1) les non-dits des créateurs avant de mourir... Est-ce qu'ils l'ont dit sans le dire, tout en le disant...?mokenamoke a écrit :1) Il serait plutôt étonnant qu'un auteur DEMANDE qu'on poursuive sa série, il faudrait se contenter de dire qu'il ne l'interdit PAS, ce qui est une fameuse nuance.
2) Si Jacobs n'était pas mort, il aurait sans doute un peu "modernisé" ses personnages, comme Hergé qui a mis des jeans à Tintin sans que ça pose problème, d'ailleurs les 3 Formules du Pr Sato : là on n'est plus dans les années 50 mais comme on est au Japon ça choque moins et en plus on a déjà une technologie de 2050 ou plus, avec des robots et des clones, là on est carrément dans le futur ou dans le temps parallèle. Personne ne s'est demandé quel âge avait Mortimer au moment des 3 Formules.
3) Si on voulait faire des histoires contemporaines, donc qui se passent en 2012, il faudrait aller dans le registre de la SF, donc dans le temps parallèle, là où les personnages n'ont plus d'âge. Perso j'aime mieux qu'on reste dans les années 50 et de préférence en Angleterre.
Certes, mais il faudrait sauter à quelle année pour que ça ne fasse pas bizarre...? Si les auteurs publient en 2012 une histoire qui se déroule par exemple en 1990, ça ne va pas paraître bizarre ?Rob1 a écrit : B&M de 1946 à 1977, ca va à peu près (encore qu'à partir des années 60 c'est assez "distendu"), mais sauter soudainement à 2012 ferait bizarre.
Chaque lecteur ayant ses goûts et ses préférences, ça va être la quadrature du cercle pour que les auteurs satisfassent tout le monde... Et si on laissait ces auteurs choisir le moment et le lieu, pour qu'ils se sentent à l'aise afin de pondre la meilleure histoire qui soit ?mokenamoke a écrit :Perso j'aime mieux qu'on reste dans les années 50 et de préférence en Angleterre.
Qu'un auteur décédé ait, de son vivant, ou dans son testament, demandé, ou souhaité, ou simplement laissé entendre qu'on puisse reprendre ses séries (ou même qu'il n'ait rien dit), est-ce une raison suffisante pour qu'on les reprenne ? Je dirais qu'il faut prendre en compte d'autres éléments bien plus importants.mokenamoke a écrit :1) Il serait plutôt étonnant qu'un auteur DEMANDE qu'on poursuive sa série, il faudrait se contenter de dire qu'il ne l'interdit PAS, ce qui est une fameuse nuance.
C'était le but de la fondation, non ?Will a écrit :"... (EPJ) envisageait donc que Blake et Mortimer rebondissent et vivent leur propre jeunesse éternelle indépendamment de leur père , ..." . Philippe Biermè , l'Enigme Jacobs 2 , p 209 .
Tss tss tss... La belle phrase que voilà. Ce "donc" qui suit "EPJ envisageait" laisse entendre que c'est l'auteur Philippe Biermé qui tire une conclusion ? J'aimerais bien lire ce qui précède pour comprendre pourquoi et comment l'auteur arrive à cette conclusion... Car si j'ai soulevé le problème dans un de mes précédents posts, c'est bien parce qu'il me semble me souvenir que l'intention d'EPJ n'est pas aussi nette que ça, et qu'il y a là davantage une interprétation qui arrange bien les ayants-droit qu'une déclaration claire et nette d'EPJ. C'est du genre : "Qui ne dit mot consent". A mon tour : "donc", qu'en est-il vraiment ? (ou alors, pour ne pas faire trop dériver le sujet en cours, renvoie-nous à une discussion du forum où il serait question de cette succession et des conditions de cette reprise).Will a écrit :"... (EPJ) envisageait donc que Blake et Mortimer rebondissent et vivent leur propre jeunesse éternelle indépendamment de leur père , ..." . Philippe Biermè , l'Enigme Jacobs 2 , p 209 .