Dans Le Monde un article peut-être intéressant (mais je ne suis pas abonné donc...) qui revient sur la "disparition" des planches originales de E. P. Jacobs :
Comment plus de 200 planches originales d’Edgar P. Jacobs ont-elles pu sortir du coffre-fort de sa fondation pour être discrètement vendues à des collectionneurs ? « Le Monde » révèle les dessous de cette affaire mêlant experts de prestigieuses maisons de ventes aux enchères, richissimes acheteurs et un étrange amateur de Rolls-Royce.
L'étrange amateur de Rolls-Royce regrettait dans une de ses déclarations : "Pour nombre d 'histoire, hélas, la Fondation ne dispose pas d'autant de documents que pour l’Atlantide, Jacobs, dans les moments de déprime, quand il avait l'impression que les vautours se partageaient son œuvre, a brulé énormément de choses. J'ai tout juste pu arracher quelques calques aux flammes".
Source Bo Doï n° 59.
L'étrange amateur de Rolls-Royce est devenu vautour.
Well then, Legitimate Edgar, I must have your land.
Sur son excellent blog "Passions Bédé", Vincent Rixhon a reproduit un article de Daniel Couvreur, paru dans le quotidien belge "Le Soir" et relatif à cette lamentable affaire..
