Tout me séduit dans S.O.S. Météores : le récit, les campagnes d'une île de France encore intacte, les merveilleuses scènes d'intempéries de toutes sortes qui donner lieu à des atmosphères et des ciels extraordinaires, les déambulations de Mortimer à travers des routes et des villages, la maison de Labrousse, la neige qui vient occuper toute la place dans la dernière partie de l'album - j'adore les albums de neige qui à cette époque étaient encore assez rares.
Curieusement, le sous titre est : Mortimer à Paris, alors que le professeur ne fait que traverser la capitale et passe le plus clair du récit dans cette île de France éternellement vouée aux villages, comme dans l'oeuvre de Patrick Modiano.
Alors puisqu'il faut signer mon approbation d'une série de sphères noires :










