Centaur Club

A force de recherches pour mener à bien mon "Grand Dictionnaire de B&M" presque terminé (ce n'est plus qu'une question de jours...), j'ai enfin pu mettre un nom et un visage (les vrais de vrais !)sur ce mystérieux déversoir.

Faute d'avoir accès à ma base de données, je suis obligé de reporter à demain, j'espère, le post de tous les documents et infos le concernant.

Ca a un visage un déversoir ?

(A part ça félicitations, Kronos.)

Eh oui, chère Mitsu, ça a un visage, puisque cela a une façade, et que tu te ravales bien la "façade" quand tu es trop nase...

Ça c'est du teaser !

Kronos a écrit :Eh oui, chère Mitsu, ça a un visage, puisque cela a une façade, et que tu te ravales bien la "façade" quand tu es trop nase...

Ben pas forcément ! enfin pour la première partie de la phrase
Ci dessous le déverois soir de la forêt de paimpiont !
Pour la deuxième parie de la phrase :on ne peut plus réparer les dégats , sur la mienne, de façade !

delaroche a écrit :Ça c'est du teaser !

On peut le dire

Des photos, des photos!

elle est prise où cette photo, Ô Grand Kronos?

Ainsi donc, après plusieurs mois de recherches pour le « Grand Dictionnaire », j’ai fini par donner un nom à une énigme vieille de plus de 50 ans : le déversoir du Château de Troussalet, par lequel Mortimer parvient à sortir du parc du château (page 10) et Olrik, tenter d’échapper aux militaires de Satory qui ont investi le parc du château (Cf. dernière planche, cases 5 & 6).

Il s’agit en fait du déversoir situé en partie arrière de l’ancien moulin à farine de Vauptain (ou Vauptin), situé Chemin de Vauptain, à environ 1 km du centre de Buc.
Ce moulin figure dans les registres à partir de 1675, et passera entre diverses mains, bientôt inexploité et laissé à l’abandon, jusqu’à ce que Louis Colonna, prince de Stigliano, le rachète en 1955, le restaure, le réhabilite et en fasse un haras renommé qu’il est toujours aujourd’hui. En 1958, lorsqu’il fait de minutieux et complets repérages dans la région, en compagnie de Pierre Louis (rédacteur en chef du journal Tintin-France), Jacobs découvrira par hasard cet ancien moulin en ruines, dont les murs, la situation, l’architecture et l’agencement lui inspireront immédiatement un cadre rêvé pour les péripéties de Mortimer. A l’époque, bien que déjà la propriété de Louis Colonna, la restauration des bâtiments n’avait pas encore commencé.

Ainsi, les eaux de la Bièvre, arrivant en droite ligne des étangs de Saclay, pénètrent sur les terres du moulin. A une centaine de mètres du corps de bâtiment proprement dit, le lit de la Bièvre avait été élargi, et un bassin de retenue aménagé, fermé par une antique écluse (Cf. page 22, cases 7 & 8) forçant les eaux de la rivière vers un canal souterrain maçonné qui, passant sous le moulin pour y actionner la roue à aube des meules, ressortaient sur l’arrière du bâtiment via une voûte en briques et en pierres (Cf. page 20, cases 8 & 9). Et encore un mystère de 50 ans résolu ...

A bientôt, d'autres surprises !

alors là, je dis Monsieur Kronos

"Chapeau bas" devant ce fabuleux travail de recherches. RESPECT comme disent les "jeunes"

Eh beh... geek à ce point de l'univers de Blake et Mortimer, ça force le respect ! Bravo pour cette belle trouvaille.

Bravo kronos, à croire que tu utilises le chronoscaphe pour marcher dans les pas de Jacobs.

Infatigable Kronos ...
Kronos, tu es l'Indiana Jones de ce forum !

bravo kronos pour cette découverte

Bah, comme disait l'autre... "patience et longueur de temps.."

Et j'ai fait plein d'autres découvertes !

Kronos a écrit :Bah, comme disait l'autre... "patience et longueur de temps.."

Et j'ai fait plein d'autres découvertes !

Que l'on a hâte de découvrir !

Bientôt un article sur notre blog, d'ailleurs.

Lumineux, c'est un plaisir Monsieur KRONOS !!!

voici un article sur ActuaBD: ici