Centaur Club

Il était alors en plein travail sur "L'affaire Francis Blake".
NB : Dans la description, il est indiqué que ce documentaire date de 1996 mais je ne sais pas à quand remonte le tournage en tant que tel.

On n'en a ici qu'un extrait, mais voir T. Benoit à l'oeuvre dans cette séquence est assez saisissant - et touchant.
Sans parler de sa modestie et du fait qu'il était vraiment l'un de ceux à avoir le mieux 'capté' les fondements jacobsiens...

J'ajoute que ce n'est pas fréquent de découvrir l'utilisation d'un épiscope (à ma connaissance, Jacobs en possédait un aussi) et on peut même savourer quelques instants d'encrage au pinceau. Source : chaîne YT "Pirinti"

Oh, alors là.. Un grand merci à toi, Thark..
Un grand régal de voir Ted Benoit expliquer comment il travaille.

Le reportage est passé à l'époque sur la chaine planète, en 2002 ou 2003.
Je l'ai sur une cassette VHS.

Super, extra, ami Thark, nous allons faire un visionnage en règle

C'est merveilleux... Grand merci, Thark, pour ce passage ! C'est un moment très inspirant !!

Passionnant et émouvant !
Merci Thark

James a écrit : ↑

Hier, 15:23

Passionnant et émouvant !
Merci Thark

J' ajouterais fascinant , pour quelqu'un comme moi qui n'a jamais réussi un trait à la plume sans faire de pâté!
On pourrait regarder Ted Benoit pendant des heures...

freric a écrit : ↑

Hier, 12:43

Le reportage est passé à l'époque sur la chaîne Planète, en 2002 ou 2003. Je l'ai sur une cassette VHS.

Alors, compte tenu des super compétences techniques des uns et des autres, on a sûrement des chances de le (re)découvrir en intégralité un de ces jours...

Heureux de constater, en tout cas, que l'émotion est partagée.

Côté réalisation et montage, j'aime aussi beaucoup ces petits moments savoureux qui mettent en parallèle Mortimer, confronté au fonctionnement 'diabolique' du chronoscaphe, et Ted Benoit manipulant savamment sa machine infernale, le précieux épiscope qui projette ses crayonnés sur le papier définitif...

Thark a écrit : ↑

Aujourd’hui, 11:05

Heureux de constater, en tout cas, que l'émotion est partagée.

Je découvre ! Merci Thark. Et que d'émotions, en effet !