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La lettre n°31 - interview Ted BENOIT (Sept/Oct 1995)

Posté : 10 août 2010, 12:49
par freric
magazine : La lettre de Dargaud
Numéro : 31
Date : Septembre - Octobre 1995.
album : L'affaire Francis Blake.


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Re: La lettre n°31 - interview Ted BENOIT (Sept/Oct 1995)

Posté : 01 déc. 2010, 21:57
par freric
Un autocollant fournit avec la lettre n°31

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Re: La lettre n°31 - interview Ted BENOIT (Sept/Oct 1995)

Posté : 01 déc. 2010, 22:44
par Erca
Didier Christmann : "Je ne connais pas de créateur qui puisse faire, comme Jacobs, aussi bien le dessin que le scénario."
Moi j'en connais au moins un, c'est Ted Benoit, qui a failli essayer d'ailleurs...
Sinon je n'ai jamais lu Adler, mais René Sterne en aurait sûrement été capable.
Après tout, comment faire pire que la Malédiction des Trente Deniers ? :twisted:

Re: La lettre n°31 - interview Ted BENOIT (Sept/Oct 1995)

Posté : 01 déc. 2010, 23:19
par catallaxie
Dans l'article il est dit textuellement : "l'éditeur évite de créer un cahier des charges". Si ce n'est pas pour cette aventure, à partir de quand le cahier des charges, tel qu'il nous est compté, est il entré en vigueur ? Est ce la reprise et projet de JVH/Benoît qui ont dessiné les grandes lignes de ce cahier des charges ? Il y a sûrement d'autres zones obscures qui entourent ce document quasi-sacré pour la reprise de la série.

Re: La lettre n°31 - interview Ted BENOIT (Sept/Oct 1995)

Posté : 02 déc. 2010, 18:40
par abbas
Je retiens surtout d' "Histoire d'un retour", les multiples questions que s'est posé Ted Benoit et la rigueur de son travail.

Re: La lettre n°31 - interview Ted BENOIT (Sept/Oct 1995)

Posté : 02 déc. 2010, 21:41
par Pykov
abbas a écrit :Je retiens surtout d' "Histoire d'un retour", les multiples questions que s'est posé Ted Benoit et la rigueur de son travail.
bien entendu! mais il faut admettre que c'était le plus osé des challenges: briser le tabou de l'exigence du Maître...une fois l'Affaire FB parue, les règles se relâchent et c'est normal, nous devons nous diriger vers une pérennité de l'existence de nos héros qui doivent vivre avec leur temps (même s'ils continuent, comme c'est mon souhait à exister dans les années 50/60) et pour cela les "codes" de la série se modernisent et je trouve que JVH dans le court extrait télévisé que nous avons vu dit des choses intelligentes et drôles.