Centaur Club

archibald a écrit :Je pense qu'il n'est pas allé à l'innovation le jour de l'incendie alors qu'il avait l'intention de le faire ,maintenant les détails ....

Exactement.

Jacobs a inventé ou modifié quelques petites choses dans sa biographie... Notamment le prix de chant qu'il a eu (il en a eu un autre, moins glorieux).
Ce n'est pas bien méchant et cela n'enlève rien à ses qualités.

montag a écrit :Jacobs a inventé ou modifié quelques petites choses dans sa biographie... Notamment le prix de chant qu'il a eu (il en a eu un autre, moins glorieux).
Ce n'est pas bien méchant et cela n'enlève rien à ses qualités.

Je suis bien d'accord . Ce qui m’impressionne le plus c'et la vivacité d'esprit et la perspicacité de Will !

archibald a écrit :Ce qui m’impressionne le plus c'et la vivacité d'esprit et la perspicacité de Will !

Là-dessus on sera tous d'accord !

Erca a écrit :

archibald a écrit :Ce qui m’impressionne le plus c'et la vivacité d'esprit et la perspicacité de Will !

Là-dessus on sera tous d'accord !

Absolument - il m'épate, il m'épate mais alors, il m'épate !

Page 187 - Un opéra de papier - document personnel de l'auteur, utilisé pour la correction avant publication.

Dimensions : 130 x 180 mm.

Page 187 - Un opéra de papier - Dessin de sa maison au bois des pauvres, dans la version définitive, ce dessin est remplacé par une photo de la maison sous la neige.


Page 187 - Un opéra de papier - Autoportrait de Jacobs avec sa femme en 1967, dans la version définitive, ce dessin est remplacé par une photo du couple.

Merci pour ce document ! Une synthèse pleine de recul et de sincérité de la part de Jacobs.

Un opéra de papier - Page 109 - Rechercher pour la mise en page : crayonné de l'espadon


un opéra de papier - Page 109 - Recherche pour la mise en page : crayonnés de Mortimer, Blake et Olrik

Affiche Gallimard pour annoncer la sortie d' un opéra de papier



Dimensions : 320 x 660 mm

Encore un inédit. Merci Freric.

Une critique de Jean-Luc Fromental parue dans le magazine Métal Hurlant n°82 de février 1982.

Irrévérencieux dans le ton... bien troussé, l'hommage-critique.
Merci Freric.