Que dire...
Gilles Chaillet a l'avantage et l'inconvénient d'être le dernier des Grands 
 
 
Vasco est remarquablement dessiné avec un scénario historique certainement très étudié, mais on ne peut s'empêcher d'y trouver un air de "déjà vu".
C'est rude pour cet auteur qui a un immense talent, mais il est quelque part desservi par la pureté de son style. N'ai-je pas lu que Claude Moliterni, himself, s'était répandu chez Casterman en disant: on fait du rangement chez Dargaud et il reste des planches originales de Jacques Martin!!! 
 
 
Je suis personnellement un grand fan des "Portes de l'Enfer" et en règle générale un grand admirateur du style de Chaillet, peut-être a-t-il une carrière à la Bob de Moor? 
