
Couverture inédite réalisée pour l'occasion par Ted Benoit !

EDITION NORMALE
• Auteur : Stéphane Thomas
• Dimensions : 16 x 24 cm
• Pagination : 192
• Papier : couché 115 grs
• Couverture : Brochée
• Impression : Offset couleur
• Date de sortie : octobre/novembre 2012
• Prix de vente : 25 €
TIRAGE DE TÊTE
• Dimensions : 16 x 24 cm
• Pagination : 192
• Papier : couché 115 grs
• Impression : Offset couleur
• Couverture : Cartonnée
• Dos : Toilé
• Date de sortie : octobre/novembre 2012
• Tirage : 80 exemplaires
• Numérotation : oui
• Signatures : oui, par Stéphane Thomas
• Ex-Libris : oui
• Prix de vente : 59 €
C’est une évidence au début des années 2010 : le mythe Blake et Mortimer (comme l’a dit le scénariste Jean Van Hamme, il s’agit plus d’un mythe que d’une série de la bande dessinée), initié par E. P. Jacobs, est plus vivant que jamais :
• Depuis 1996 et le premier album de reprise (L’affaire Francis Blake), les albums de la série figurent régulièrement dans les « best-sellers » annuels de la bande dessinée, en outre les nouveaux albums ont redynamisé le tirage des albums fondateurs.
• La communauté des fans n’a jamais été aussi active aujourd’hui grâce notamment à l’Internet. Les passionnés peuvent communiquer comme jamais auparavant et se tenir au courant sur des sites dédiés à nos deux héros.
• Les manifestations célébrant l’œuvre d’E. P. Jacobs n’ont jamais été aussi nombreuses. Depuis la fin des années 1990, il ne se passe plus un an sans qu’un album – ou un anniversaire – ne soit célébré dans une exposition ou à l’occasion d’un festival.
Comment expliquer une telle hérédité en croissance constante, un tel « revival » comme disent les anglo-saxons ? S’agit-il seulement de marketing, depuis que Dargaud a racheté les Editions Blake et Mortimer ? Ou plutôt un reflet du monde toujours actuel ? Que peut expliquer un tel engouement pour des héros de papier inventés il y a maintenant 65 ans ? Serait-ce une reconnaissance à retardement, après avoir été si longtemps dans l’ombre de l’ami Hergé – et néanmoins rival, faut-il le rappeler – et son Tintin universel ?
Nous nous attacherons à retracer et à analyser chronologiquement la réception de l’œuvre d’E. P .Jacobs, sous les deux angles artistique et commercial, une évolution qui ressemble à s’y méprendre au parcours de ses deux héros Blake et Mortimer dans leurs aventures : une descente aux enfers suivie d’une remontée vers la lumière.
Voici la version Noir et Blanc à l'encre de chine :

et la couverture sans le bandeau du titre

L'ex-libris inclut dans le tirage de tête :
