Si seulement tout cela ne pouvait être qu'une gigantesque blague !
et pour que le malentendu ne se propage pas, il me paraît plus qu'utile de rappeler ce que François Rivière déclarait à Frédéric Bosser dans l'excellent 'dBD' Hors Série / Blake & Mortimer de novembre 2016... Donc, Kronos, La fiancée du docteur Septimus est tout bonnement le titre d'un projet de film qui est au cœur du récit (peut-être en effet un clin d'oeil à La fiancée de Frankenstein de James Whale en 1935 ?) et non pas un 'vrai' personnage féminin aux côtés du 'vrai' Septimus !F. Rivière a écrit : ↑12 juin 2020, 10:56"Dans cette nouvelle, Mortimer rencontre un producteur et lui demande de réaliser un film autour de La Marque Jaune. Son titre : La fiancée du docteur Septimus. Cela m'amuse de raconter l'histoire de cette adaptation qui n'a jamais pu se faire au cinéma. On évoque souvent une malédiction...
Date de parution : 04 décembre 2020Éditeur Dargaud a écrit :À Londres, Philip Mortimer et le jeune Richard, neveu de Francis Blake, dînent avec James Whale. Le réalisateur de L'Homme invisible prépare un film consacré à la célèbre affaire de la « Marque Jaune ». En sortant de l'hôtel, Mortimer et Richard manquent de se faire écraser par une voiture sans conducteur. Dans la nuit, James Whale est réveillé par une voix féminine psalmodiant à la radio une phrase en forme de menace. Intrigué, Mortimer téléphone à Blake. Celui-ci lui apprend que le docteur Septimus avait une collaboratrice : une biologiste nommée Ursula Phelps. Etrange coïncidence, Richard a récemment lu un article signé « Phelps », expliquant que l'électricité organique pouvait déplacer des objets à distance. Bien décidés à éclaircir ce mystère, les trois hommes s'aventurent jusqu'au cottage abandonné du docteur Septimus. Dans le désordre de son laboratoire, ils vont découvrir son oeuvre ultime... Avec cette nouvelle mêlant l'humour au surnaturel, François Rivière, biographe d'Edgar P. Jacobs, et Jean Harambat, auteur des remarqués Opération Copperhead et Detection Club, rendent hommage au cinéma fantastique et à la littérature populaire des années 30. Une histoire savoureuse au ton so british, illustrée par les dessins de Jean Harambat, son trait léger et ses couleurs subtiles.
C'est la littérature qui a inspiré le cinéma fantastique. Il y a des dizaines d'auteurs, Sax Rohmer, Jean Ray, etc. etc.Alhellas a écrit : ↑28 juin 2020, 09:27"Avec cette nouvelle mêlant l'humour au surnaturel, François Rivière, biographe d'Edgar P. Jacobs, et Jean Harambat, auteur des remarqués Opération Copperhead et Detection Club, rendent hommage au cinéma fantastique et à la littérature populaire des années 30."
Je ne comprends pas bien l'allusion " à la littérature populaire des années 30"...
