Le contexte: 1955, EPJ travaille sur l'Atlantide et il vient de s'installer à Lasne en brabant (bois des pauvres). Il retrouve sa première femme Ninie qui a des difficultés d'argent.
Je plussoie ...shamelord a écrit :Le dessin est fouillé et précis, les décors sont magnifiques... ça promet...
Merci à l'auteur, pour ces informations.Philippe Wurm a écrit :Le travail sur la biographie de Jacobs avance à un bon rythme, même si, en étant très minutieux, cela ne me fait pas aller très vite. Je compte encore une année de boulot et je serai arrivé au terme des 90 planches que doit faire le livre (il y aura aussi un dossier didactique qui l'accompagnera). Cette biographie est vraiment conçue comme un guide de Bruxelles au XXème siècle avec la représentation exacte de tous les lieux où le Maître c'est rendu, dans le même temps François Rivière écrit de manière à nous faire ressentir l'esprit de Jacobs au plus près pour qu'il soit proche de nous et nous permette de voir son œuvre à travers le prisme de sa vie. Voilà les raisons pour lesquelles ce travail est assez lent, ce qui ressort au fur et à mesure de ma progression c'est que cet homme mérite largement le temps qu'on lui consacre et que plus je le fréquente plus mon admiration pour son œuvre augmente (ce que je ne croyais pas possible étant donné que je le plaçais si haut !).
réalisé avec ferveur - ça saute aux yeux - , les extraits montrés ici sont plus que prometteurs : je les trouve réellement enthousiasmants ! On sent que l'admiration, la rigueur et la créativité vibrent à l'unisson. Quand on sait la connaissance presque intime et les liens à la fois personnels et artistiques que F. Rivière a entretenus avec Jacobs... et quand on mesure la passion de Philippe Wurm pour l'oeuvre et l'homme du Bois des Pauvres, ce récit bio/graphique ne peut être que passionnant.
) pour la suite et fin de cet admirable boulot de recherche, de mise en page, de dessin, etc... et déjà un vrai BRAVO pour les planches ci-dessus ! 
Edit : Correction de la date 1960 au lieu de 1962.Philippe Wurm a écrit :Il n'y a pas de texte. Mais le cadre est le suivant: Nous sommes en 1960 et Jacobs élabore les planches du "Piège diabolique" dans un contexte de guerre froide assez angoissant. Je pense que les images sont finalement assez explicites pour reconstituer le cours du récit !
Et comment ! Superbe cadeau
, savoureux aperçu de ce voyage temporel, humain et artistique qui nous attend !
A mon avis, il ne s'agit pas d'instrument joué par quelqu'un dans la maison : c'est probablement le gros poste de radio qu'on distingue - me semble-t-il - derrière Jacobs...
(D'ailleurs, dans la longue case panoramique, on voit bien que la "bulle musicale" provient de l'étage, donc... de son atelier ! 
)
