 mais j'ai sciemment zappé la fin... quand même !).
 mais j'ai sciemment zappé la fin... quand même !).La première partie extrèmement aquatique pour un Blake & Mortimer (parti-pris qui fait des vagues, d'ailleurs...
 ) m'a immédiatement remis en mémoire un mauvais souvenir...
 ) m'a immédiatement remis en mémoire un mauvais souvenir...Dessinant une fournée de 5 planches (en noir et blanc) pour Soleil, en respectant à la lettre le descriptif du scénariste (chuttt !), je m'étais vu reprocher par le Big Boss du Sud "l'absence de décor, l'espace vierge dans les images, le manque de détails pour contenter l'oeil"...
 
   ... A ce stade, je précise que 2 planches se passaient sur une plage vide à marée basse (!) et les 2 suivantes dans l'eau -de mer- en compagnie de deux gosses s'amusant parmi les vagues... Rien d'autre !
 ... A ce stade, je précise que 2 planches se passaient sur une plage vide à marée basse (!) et les 2 suivantes dans l'eau -de mer- en compagnie de deux gosses s'amusant parmi les vagues... Rien d'autre !Tel était le désir du scénariste... "Absence de décor", arff...
 
 Bref... Mais ici le contexte est bien différent ! La remarque de l'éditeur étant encore vivace, c'est justement cette impression dominante de "vide" qui m'a frappé en parcourant le début de La Porte d'Orphée : que d'eau, que d'eau ! Mais que d'eau ! Des vagues, du bleu et encore des vagues !
Il y a pourtant les aplats de couleurs vives
 pour donner de l'allure aux pages, dessinées avec élégance. Mais... on est sensés être dans un Blake & Mortimer, non ?
 pour donner de l'allure aux pages, dessinées avec élégance. Mais... on est sensés être dans un Blake & Mortimer, non ?Que reste-t-il du respect de la "lignée jacobsienne" quand un scénariste pourtant émérite choisit de faire ainsi barboter Mortimer, et de n'offrir au lecteur que le minimum syndical en terme d'aventures, de documentation, de ROMANESQUE ! Tous ces éléments, tant graphiques que scénaristiques, qui étaient susceptibles de marquer à vie les esprits... Ce que faisait si bien Jacobs ! Ok, le dessin est réussi, souple, maitrisé... mais ça ne suffit pas dans le cadre d'un B & M digne de ce nom !
Sans même avoir lu l'ouvrage entier, ces planches et les quelques monologues et dialogues des premières scènes m'ont donné une désagréable impression de facilité (scénaristique), bien peu digne des grandes oeuvres antérieures...
Bien sûr, cette réaction ne tient pas encore compte de l'impression que me laissera au final la (re)lecture du dyptique de la Malédiction des 30 deniers, mais...
Pour finir -provisoirement- sur une note archi positive, je dois dire que le trait bluffant d'Antoine Aubin m'a réellement impressionné, et rassuré... après la déception graphique des 24 dernières planches du Tome 1...
(Total respect et sympathie chaleureuse envers Chantal de Spiegeleer, évidemment, et respect accrû pour son courage, mais bon... ).
A suivre... après lecture intégrale !
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 : ça passe mieux qu'en prépublication mais je ne peux que rejoindre les précédentes critiques, ça ne manque pas d'action, pourtant j'ai eu l'impression que ça se traînait.
  : ça passe mieux qu'en prépublication mais je ne peux que rejoindre les précédentes critiques, ça ne manque pas d'action, pourtant j'ai eu l'impression que ça se traînait.  .
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