Quarnstron a écrit :... / ... Je me suis forcé à aller jusqu'au bout, principalement parce que je voulais voir jusqu'où les auteurs conduiraient cette entreprise de démolition systématique. Alors, oui, il y a certainement un dose de masochisme et de perversité : "Ces gens-là peuvent-ils vraiment maintenir un tel niveau de médiocrité ?" Mes pauvres yeux !! Oui, ils ont fait preuve d'une belle constance.
Pour moi, "Le Bâton de Plutarque", c'est de la malbouffe en version BD.
C'est comme si Max Pécas avait tourné "Sacrément canon, ce Samouraï", destiné à précéder le chef d’œuvre de Melville.
 + 1 + 1 + 1 !
 + 1 + 1 + 1 !   Haha ! "une dose de masochisme et de perversité", aveu courageux, bravo ! ^^ (Bah, t'inquiètes, "faute" avouée à moitié pardonnée..
 Haha ! "une dose de masochisme et de perversité", aveu courageux, bravo ! ^^ (Bah, t'inquiètes, "faute" avouée à moitié pardonnée..   )
  )Bien trouvée, aussi, ta dernière formule !
 
 Quarnstron a écrit :Blake et Mortimer sont pleinement entrés au Panthéon du 9e Art lorsque leur Père a définitivement rangé ses crayons. En cela, ils sont éternels et leurs aventures se suffisent à elles-mêmes. [... / ...]
J'aurai toujours froid en lisant les scènes d'extérieur de SOS Météores.
J'aurai toujours ce sentiment oppressant et déprimant en arrivant avec Mortimer à la Roche-Guyon.
J'aurai toujours ce respect mêlé d'effroi pour le Cheikh en lisant le Mystère de la Grande Pyramide.
J'aurai toujours ce sentiment d'écrasement en découvrant les milliers de vaisseaux spatiaux des Atlantes et cette même envie de crier "Hurray" avec B&M lorsqu'enfin ils s'envolent vers l'inconnu.
J'aurai toujours cette pointe d'inquiétude quand la lampe de poche de Mortimer s'éteint dans l'Affaire du Collier.
J'aurai toujours une impression de malaise en voyant l'oeil de Septimus à travers le Judas (où est-ce celui de Guinea Pig ?).
J'aurai toujours cette aversion (répulsion ?) pour Olrik dans le Secret de l'Espadon. [... / ...]
 Joliiii ! Belle envolée, Quarnstron, et belle déclaration "émotionnelle" à laquelle je souscris totalement... Car il n'y a rien de frelaté dans ce qu'a produit Jacobs, le goût et l'effet enivrant (ou hypnotique) de ce qu'il nous a offert au 20ème siècle sont inimitables.
 Joliiii ! Belle envolée, Quarnstron, et belle déclaration "émotionnelle" à laquelle je souscris totalement... Car il n'y a rien de frelaté dans ce qu'a produit Jacobs, le goût et l'effet enivrant (ou hypnotique) de ce qu'il nous a offert au 20ème siècle sont inimitables. Je te rejoins aussi sur Aubin : voilà un dessinateur grace auquel j'ai brièvement cru qu'un "miracle" artistique était peut-être en train de se (re)produire - il y avait déjà eu le miracle Ted Benoit, au début - dans le cadre de ces Reprises (très) inégales...
Malheureusement pour lui (et pour nous !), le scénario et la pression édito-commerciale ont eu raison de sa Volonté et de son perfectionnisme...

Au final, c'est vraiment du gâchis, car il y avait dans la 1ère partie de l'Onde Septimus des planches parmi les plus réussies et impressionnantes du 'corpus Repreneurs'...
Please, messieurs z'éditeurs, donnez carte blanche à Antoine Aubin...







 
  
 


 
  



 , il n'y a que certains aspects de la "forme" - ou de la "méthode" - qui, peut-être, sont légèrement différents.
 , il n'y a que certains aspects de la "forme" - ou de la "méthode" - qui, peut-être, sont légèrement différents. 
  Bravo, voilà qui est bien dit et qui dénote une attitude constructive... et une salutaire modestie !
 Bravo, voilà qui est bien dit et qui dénote une attitude constructive... et une salutaire modestie ! 
  
   
 





